La chaleur
La chaleur étouffante qui imprègne tout le roman peut être interprétée comme une métaphore de l'oppression sociale, de la culpabilité ou de l'absurdité de la vie. Elle crée un sentiment d'irritabilité et d'inconfort pour les personnages, reflétant souvent leur état d'esprit intérieur.
les funérailles
" Les funérailles de Maman " peuvent être interprétées comme une métaphore de l'absurdité des rituels sociaux entourant la mort. Meursault semble indifférent à ces rituels conventionnels, soulignant ainsi son étrangeté par rapport à la société.
La nature
Elle est comme comme le reflet de l'état d'esprit de Meursault : " les vagues, les lames de soleil, les filles qui rient, les visages bronzés par le soleil, tout cela me paraissait loin, inutile, et, pour la première fois, je me suis senti assez étranger pour me demander ce que je faisais là. "
Les sensations physiques
Meursault décrit souvent ses expériences sensorielles en utilisant des comparaisons avec des éléments naturels. Par exemple, il compare ses sensations de faim et de soif à des " feux " qui brûlent en lui, ou ses émotions à des vagues qui le submergent.
La solitude
Meursault se compare fréquemment à des étrangers ou à des observateurs extérieurs dans son environnement social. Il se sent souvent détaché des autres personnages et décrit sa solitude en utilisant des images de distance et de séparation.
l'absurdité de la vie
Les comparaisons dans le roman renforcent le thème de l'absurdité de la vie en soulignant les contradictions et les incohérences de l'existence humaine. Par exemple, Meursault compare ses actions et ses émotions à des réactions automatiques ou à des mouvements mécaniques, soulignant ainsi leur caractère dénué de sens.