Le Procès

Le Procès Métaphores et Comparaisons

Comme un chien (comparaison)

" Comme un chien ! " sont les derniers mots de Joseph K. lorsque ses bourreaux le poignardent en plein cœur. K. compare ainsi sa mort à celle d'un chien malade ou trop âgé qu'on tuerait pour abréger ses souffrances.

Des mouches qui s'arrachent les pattes (métaphore)

Tandis que les bourreaux de K. le traînent vers la carrière, le personnage principal rassemble ses dernières forces pour tenter d'inverser le cours de son destin. Kafka écrit : " Il songeait à ces mouches qui s'arrachent les pattes en cherchant à échapper à la glu ". Cette comparaison montre que K. pense n'avoir plus rien à perdre.

Comme un animal assoifé (comparaison)

Lorsque K. embrasse Mlle Bürstner, Kafka illustre son ardeur en le comparant à " un animal assoiffé qui se jette à coups de langue sur la source qu'il a fini par découvrir ".

Tomber comme une masse (comparaison)

Alors que K. visite les bureaux du greffe, il est brusquement pris d'un malaise et deux personnes l'aident à marcher jusqu'à la sortie. Kafka écrit : " Le sort de K. était entre leurs mains ; s'ils le lâchaient, il tomberait comme une masse ".

Une plaie nette (métaphore)

Huld explique à K., venu le consulter, que dès qu'il aurait éclairci la situation avec le chef de bureau, " la plaie serait nette ". Huld emploie le langage des chirurgiens pour illustrer la façon dont le dossier de K. pourrait être amélioré et pourrait en quelque sorte guérir.

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